Titre VO : Star Wars: Episode I - The Phantom Menace
Un film de George Lucas avec Liam Neeson , Ewan McGregor , Jake Lloyd , Ian McDiarmid , Ahmed Best
Genre : science fiction - Durée : 2h13 - Année de production : 1999
Date de sortie cinéma : 13 Octobre 1999
La Fédération veut imposer par la force sa main-mise sur les échanges commerciaux interstellaires. Deux Chevaliers Jedi, Qui-Gon Jinn et Obi-Wan Kenobi, sont envoyés par la République pour parlementer. Mais il est trop tard, le Seigneur Dark Sidious a ses plans. Dans leur fuite, les Jedi rencontrent un jeune esclave : Anakin Skywalker...
Cet opus de la magnifique saga "Star Wars" se montre pour moi comme le second meilleur des 6 films. En effet, George Lucas a décidé ici de dévoiler l'enfance traumatisante du jeune Anakin Skywalker qui en est pour beaucoup dans toute l'histoire "Star Wars". On accède à la vision de la prise en main de l'apprentissage des règles Jedi par Obi Wan étant jeune, et surtout on découvre un personnage mystérieux et cruel : Dark Maul. Cependant, les acteurs restent magnifiques dans leur rôles respectifs, et c'est avec délices qu'on peut les regarder jouer leur personnages à 100%. On retrouvera comme souvent, Ewan McGregor ("Big Fish", "Moulin Rouge", ...), ou encore même Natalie Portman ("V pour Vendetta", ...). Ce sont donc des acteurs expérimentés qui nous font face, et quel spectacle ! Les costumes, musiques et décors sont incroyables, plus superbes les uns que les autres, ils permettent aux spectateurs l'immersion complète de ceux-ci dans un monde totalement différents pour ne pas dire imaginaire. Finalement, un grand bravo peut être adressé à tous du fait de leur grand talent.
Star wars... Une saga culte, parfaite dans tous les domaines. La science fiction par excellence. Excellent commencement pour la nouvelle trilogie. Musique de John Williams à pleurer! Scène final au sabre laser magnifique! Honte à ceux qui n'ont jamais vu star wars!
Le début de la saga aux origines de Dark Vador, les personnages sont vraiment étonnants et attachants, Dark Maul est étonnant par son visage tatoué et sa bonne maitrise du double sabre laser, Le maitre Jedi Qui Gon Jin interprété par Liam Neeson qui nous montre un côté beaucoup plus humain et moins mystérieux que les chevaliers Jedi vus auparavant, comme Luke, c'est lui qui découvre le Jeune Anakin futur élu de la force, on suit également les débuts d'Obi Wan Kenobi, probablement le chevalier Jedi le plus puissant après Yoda, il reussit à vaincre seul Dark Maul malgré son double sabre laser.
Un film culte, comme beaucoup le diront. Bon à voir pour ne pas passer pour un «fou», un «déchet de la société», ou encore un «inculte» tout simplement ! Une histoire sympathique, mais loin d'être une oeuvre d'art. Parfois drôle, parfois long, parfois entraînant, ce film peut être qualifié comme varié ! Rien de bien grandiose dans l'ensemble mais un bon moment à passer devant sa télévision.
Grand fan de la trilogie Star Wars, il est quasiment impossible de cautionner cette déchéance cinématographique. Pour une raison, principalement : le jeunisme affichée de Lucas, décidé à plaire au plus grand nombre, laissant de côté ceux qui ont grandi avec Luke Skywalker, Han Solo, etc. Le film est ancré dans son époque, là où la première trilogie se voulait atemporelle : Anakin, futur Dark Vador nous sort des aphorismes tels que : «ça craint ! c'est chaud». Les personnages sont vies, sans personnalité : Qui Gon-Jin est un Petit Robert ambulant, toujours prompt à définir ceci ou cela, Obi-Wan ne sert à rien, sinon à apprendre (apprendre quoi ? telle est la question) ; Jar-Jar Binks, clone de Christian Clavier, insupporte tant qu'il est à l'image (son accent «négro» en V.O. a soulevé quelques questions sur un soupçonné racisme de Lucas). Et au lieu de créer la référence, Lucas nous sert du référentiel : Ben-Hur, quelques plans à la Blade runner, et des auto-références (autant prendre du bon là où il y en a). Cet épisode I est donc un ramassis d'SFX, sans histoire, sans personnages. Il n'a donné lieu qu'à un déferlement médiatique, proprement représentatif du capitalisme selon LucasFilm. Alors bien sûr, le film prend plus de sens avec les deux autres opus, mais comme j'ai déjà pu le dire, cet épisode, 30 mn, c'était suffisant.
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