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Sept vies

Note : 3.4/5.0 - 5 avis

Papiers peints et tableaux Star Wars

Titre VO : Seven Pounds

Un film de Gabriele Muccino avec Will Smith , Woody Harrelson , Barry Pepper , Michael Ealy , Joe Nunez

Genre : drame - Durée : 2h03 - Année de production : 2008

Date de sortie cinéma : 14 Janvier 2009

Distributeur :

Visitez le site officiel du film

Gabriele Muccino
Gabriele Muccino
Will Smith
Will Smith
Woody Harrelson
Woody Harrelson
Barry Pepper
Barry Pepper
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Sept vies, le film

  • Sept vies

    Synopsis

    Hanté par un secret, Ben Thomas cherche sa rédemption en transformant radicalement la vie de sept personnes qu'il ne connaît pas. Une fois son plan mis en place, plus rien ne pourra l'arrêter. C'est tout du moins ce qu'il croit. Mais Ben n'avait pas prévu qu'il tomberait amoureux de l'une de ces personnes et que c'est elle qui va le transformer...

Le Casting du film

  • LISTE ARTISTIQUE
    Will SmithBen Thomas
    Woody HarrelsonEzra Turner
    Barry PepperDan
    Michael Ealyle frère de Ben
    Joe NunezLarry
    Bill SmitrovichGeorge Ristuccia
    Tim KelleherStewart Goodman
    Andy Milderle médecin de George
    Quintin KelleyNicholas
    Fiona HaleInes
    Ivan Angulole fils de Connie
    Jack Yang
    Amanda Carlin
    Geoffrey GouldSocial Services worker
  • Steve TomBen's Doctor
    Yeniffer BehrensInfirmière
    Nadia Shazana
    Mark NewsomER Security Guard
    Michael SpellmanElevator Doctor
    Ryan OchoaChoir Boy
    Connor CruiseYoung Ben
    David BurrusBoy
  • LISTE TECHNIQUE
    Gabriele Muccino
    Rosario DawsonEmily Posa
    Elpidia CarrilloConnie Tempos
    Robinne LeeSarah Jenson
    Gina Hechtle docteur Breyer
    Judyann ElderHolly Apelgren
    Sarah Jane Morris (Sarah Morris)Susan
    Madison Pettisla fille de Connie
    Octavia SpencerKate
    Louisa Kendrickla femme de Dan
    Cynthia Rube
    Bojana NovakovicJulie
    Lydia A. ButlerER Nurse
    MaShae AldermanBen's brother's wife
  • Sam Gros
    Dale Raoul
    David J. Bloomfield
    David Crockett
    Domenico Procacci
    Ken Stovitz
    Molly Allen
    Grant Nieporte
    Philippe Le Sourd
    Hughes Winborne
    J. Michael Riva
    Sharen Davis
    Denise Chamian
    Chris Gray
    David F. Klassen
  • Leslie A. Pope
    Shutchai Tym Buacharern
    Myke Michaels
    Brian Penikas
    Jeffrey Wetzel
    Conrad E. Palmisano
    John Sweeney
    Jim Stuebe
    Brian Armstrong
    Danny Braet
    Anne Lara
    Axel Foy
    Angelo Milli

Avis et critiques des internautes


proposer un avis sur « Sept vies »


  •  le 08 Avril 2009 par

    J'en attendais beaucoup de ce film et peut être un peu trop car ma déception était de taille. Ne comprenant pas tout de suite ce qui se passer, ni pourquoi, je me sentais obligé de rester jusqu'à la fin du film. La performance de Will Smith est comme à son habitude splendide et il en jette, beau, musclé, avec un sourire charmeur, je veux bien qu'il vienne promené mon chien quand il veut. Malheureusement sa performance n'a pas amélioré mon image sur le film. Donc j'étais là, je regardais, je voulais savoir, bon il était facile de deviné qu'il allait sauver Sept vies, mais Pourquoi? Tout le film ne repose que sur cette question, pourquoi?, pourquoi il fait ça, pourquoi eux ? Et il faut attendre la fin pour tout comprendre et ce dire "Ouhaou", une fin à laquelle je ne m'attendais pas et qui permet à ce film de pas avoir une étoile, pour "désolant".

    Une petite larme vient tout de même se coller contre ma joue, car c'était si émouvant et si touchant.

  •  le 07 Avril 2009 par

    Disons le sans ambages, Sept vies c’est dans un premier temps une incompréhension. Mais ou donc le réalisateur veut il nous emmener avec ce mélodrame, qui s’avérera finalement morbide ? Pourquoi donc un riche veuf en pleine aheurie s’occupe t’il du destin de parfaits inconnus ?

    Très vite le mystère du comportement cathartique du héros est levé. Oh stupeur, Will Smith n’est pas un être abject mais un bon samaritain. Ce qui rassure le spectateur ébaubi, dans l’attente de retrouver son « good guy » après le premier opus du partenariat entre Gabriele Muccino et Will Smith «A la recherche du bonheur ».

    Muccino se perd dans des effets antébovino-araires, enchainant les flash back et autres effets superflus, se pensant esthète sans faire réellement avancer son propos. Le tarif des 120 minutes étant aussi utile ici qu’un poulpe dans un hôpital.

    Passés les premiers atermoiements on assiste à une enfilade de scènes lacrymales. Will Smith, avec ses moues forcées de neurasthénique en goguette, convainc quand même et prouve qu’il peut enchaîner les films avares en pyrotechnie. Il est vrai qu’il peut compter à ses côtés Rosario Dawson comme faire valoir de luxe. Sans vouloir être phallosophe, la beauté callipyge éclaire la pellicule de son aura. Elle permet également à une histoire capillo-tractée de gagner en crédibilité. Les deux héros s’entendent à ne pas surjouer l’émotion, échangeant des regards qui en disent plus long que les discours. Harrelson, lui, est cantonné à la portion congrue, mais les moments où il apparaît sont tout à fait poignants.

    Malgré le talent des acteurs, le film déçoit car le script est tout simplement bâclé voir lourd. Pointons du doigt la plume du néophyte ambisenestre Grant Nieporte, qui n’avait pour fait de gloire jusqu’ici que d’avoir participé à l’écriture de la série « Sabrina la sorcière ». La myriade d’incongruités qu’il dissémine nous rend circonspects, mais comme nous avons une certaine empathie pour les personnages on arrive à passer outre et on lutte pour atteindre le terme.

    Le twist final tombe comme un cheveu sur la soupe et annihile les efforts employés pour soutenir un certain rythme jusqu’à l’épilogue. « Sept vies » est censé nous amener à une réflexion sur la relation complexe entre autrui, l’amour et soi-même. Mais la morale d’ensemble tend, et c’est suffisamment atypique pour le mentionner, à rapprocher le spectateur de la tristesse la plus grave. L’idée même de la rédemption défendue par Muccino est pour le moins nauséabonde. L’emprunt au « marchand de venise » de Shakespeare n’est d’ailleurs pas anodin. Du coup l’envolée lyrique et la note d’espoir n’y sont pas. Et on repart le moral un peu dans des chaussettes qui semblent peser sept livres.

  •  le 27 Mars 2009 par

    Sept vies est incontestablement un joli film. L'histoire de Ben Thomas - interprétée par Will Smith - qui cache un lourd secret et qui en quête de rédemption se tourne vers sept personnes qu'il ne connaît pas pour les aider est parfaitement bien narrée. Le film n'évite cependant pas quelques lourdeurs notamment au démarrage qui peuvent faire que le spectateur n'accroche pas tout de suite au wagon Sept vies. De même, le montage montrant avec parcimonie les raisons de la tristesse intérieure de Ben peuvent perdre le spectateur et ne facilitent pas sa compréhension. Néanmoins, les plans montrant l'amour partagé entre Will Smith et Rosario Dawson sont d'une beauté incroyable. Will Smith est dans ce film comme à son habitude parfait interprétant avec émotion et tact un Ben Thomas tiraillé entre regrets et envies de pardon. Rosario Dawson est quant elle incroyable de simplicité et de tendresse et donne vie au personnage d'Emily luttant contre son cancer du coeur. Le film délivre un message louable de solidarité, de pardon et d'amour. Sept vies restera une oeuvre émouvante qui aura su dépasser les clichés habituels des comédies dramatiques made in US.

  •  le 10 Mars 2009 par

    Un début mou et étrange pour une fin spectaculaire, c'est ce que nous offre Will Smith, symbole même du célèbre "American Dream" avec son nouveau bébé "Sept vies". Dans la peau d'un certain Ben Thomas, il va vers les gens pour les aider dans leur vie, et c'est ainsi qu'il agit avec 7 personnes, comme si il avait quelque chose à se faire pardonner. Cette impression s'amplifie de plus en plus au cours du film, mais ne serais-ce qu'une impression? Eh bien ça, c'est à vous de le découvrir ! Mélange de poésie, d'amour et de chaudes larmes, on finit au bout de 1h45 de film, comme une grosse madeleine à crier Pourquoiiiii !!! ( enfin... presque... ) Comme d'habitude avec Will Smith - l'homme que l'on peut d'ailleurs appeler Super Will - "Sept vies" est un film très agréable à regarder, devant lequel l'ennui est impossible ( tout comme "Je Suis Une Légende" ou "A La Recherche Du Bonheur", ce dernier est d'ailleurs à classer dans le même registre que "Sept vies" ). L'attention du spectateur arrive toujours à être au maximum, et c'est tout de même avec embarras, que l'on porte des questions jusqu'à la fin du film. Exemple : Pourquoi ce Ben Thomas, personnage pourtant insignifiant, fait-il son casse pied avec cet aveugle, qui aurait pu aller se jeter d'un pont, pour ne plus entendre cette méchanceté gratuite ? Un début étrange, un milieu "amour" et une fin magnifique, ce n'est pourtant pas ma tasse de thé d'habitude, mais là, il y a exception... j'adore ! N'oublions pas la performance remarquable de Rosario Dawson ( sublime ) qui ne peut qu'embellir l'aspect du film. Préparez les mouchoirs ( je pense que sept paquets suffiront ) et ne manquez pas "Sept vies" !

  •  le 18 Février 2009 par

    Will Smith est certainement l'homme le plus occupé de la planète, n'en déplaise à M. N.S., président multi-fonctionnel d'une république occidental bien connue : il possède un agenda fourni jusqu'en 2020, vient chercher en France les droits du remake de Bienvenue chez les Chtis, et entre deux blockusters d'une intelligence rare pour ce genre de cinéma, joue et produit des films plus confidentiels, intimistes et humanistes, tel ce Sept vies qui aura fait pleurer les 3/4 de mes connaissances.

    Smith retrouve Gabriele Muccino après le succès d'estime A la recherche du Bonheur, l'occasion pour eux d'affirmer un style où le mélodrame américain rencontre la sobriété du point de vue européen (quelque part l'héritage du néo-réalisme dépoussiéré). Car l'histoire, sur le papier, a de quoi faire craindre le pire : un homme ayant vécu dans le passé un événement dramatique se donne pour mission de sauver les 7 vies du titre. Comme ça, ça sent la guimauve pas fraîche, avec l'arrière -goût de sensiblerie exacerbée qu'il se doit. Le résultat filmé en est très très loin, par la grâce d'une mise en scène qui se refuse à appuyer chaque rebondissement grossièrement, comme c'est souvent le cas dans les films américains, et le procédé ne fait que renforcer l'émotion, de fait brute, qui étreint le spectateur.

    Muccino disperse les indices dans son intrigue comme autant de détails qui auront leur importance proleptique, mais qui précisent également le caractère de personnages dont l'épaisseur psychologique complexifie un peu plus les rapports. Chaque séquence, chaque action, est en fait dirigée inéluctablement vers un final bouleversant dans sa philanthropie, sans pour autant être accessoirisée. Dans cette course folle au rachat de son âme, Will Smith s'avère particulièrement touchant, convaincant dans un rôle qui serait allé comme un gant à James Stewart. Le reste du casting est à l'envi, au premier rang duquel Rosario Dawson, réellement surprenante et belle à croquer.

    A l'instar de leur premier film, 7 vies se prend comme une bouffée de fraîcheur qui, pour tout dramatique soit-elle, revigore et redonne l'espoir en l'Homme, là où d'autres réalisateurs se seraient englués dans un cynisme gratuit et vain. On pleure à la fin, on pourrait même pleurer à chaque scène, mais ces larmes font chaud au coeur, et nous révèle à nous-mêmes que l'on n'est peut-être pas encore un objet de consommation digéré dans le ventre de la société anonyme. Ca fait du bien de se sentir vivant. Et ce n'est pas en regardant Fast and Furious 4 qu'on pourrait avoir cette pensée. Ne serait-ce qu'un pensée...

Les discussions sur le forum a propos de Sept vies

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  • le 23 Novembre 2012 12:57 par juliencine

    Pour moi, c’est l’une des plus belles prestations de Will Smith ! Ce film va au-delà d’une simple histoire de rédemption, c’est une œuvre qui nous pousse à nous voir en face et à nous poser des questions sur notre générosité et notre partie « altruiste ». Émouvant et impressionnant, ce long-métrage de Gabriele Muccino a certainement fait pleurer plus d’un. Bref, c’est une véritable « claque » psychologique, qui réveille en fin de compte l’être humain qui sommeille en chacun de nous. À voir impérativement.

  • le 09 Avril 2009 22:39 par coleoptere

    et... c'est quoi, un phallosophe ??? phallo : homme sophie : sagesse partant de la traduction grecque de philosophie, l'amour de la sagesse [quote]Sans vouloir être phallosophe, la beauté callipyge éclaire la pellicule de son aura. sans vouloir être un homme de la sagesse, etc... c'est moi ou ça veut rien dire ? Pour le poulpe, ça m'est revenu après, mais alors pour le coup, c'est capillo-tracté !!

  • le 09 Avril 2009 14:36 par eman02

    Ah pour "le poule dans l'hopital" pourtant Dnlx m'avait dit qu'il fallait avoir vu le film pour comprendre... Apparemment même pas Sinon soulignong aussi l'usage excessif dans cette critique de mots savants pour lesquels il faut obligatoirement le dictionnaire ou un petit San Antonio illustré ("phallosophe" si c'est de toi, félicitations, c'est un très beau néologisme )

  • le 09 Avril 2009 11:26 par coleoptere

    Dnlx, je réagis à ta récente critique pour ce film : [quote]Le twist final tombe comme un cheveu sur la soupe et annihile les efforts employés pour soutenir un certain rythme jusqu’à l’épilogue. Ce n'est pas un twist dans la mesure où la première séquence nous montre (nous fait comprendre que) Will Smith mourant : le récit est censé dès lors nous expliquer comment et pourquoi le personnage en est là. Aucun twist, donc. [quote]Mais la morale d’ensemble tend, et c’est suffisamment atypique pour le mentionner, à rapprocher le spectateur de la tristesse la plus grave. Un homme qui se sacrifie pour sauver la vie d'autres personnes ne peut pas en soi être triste ; comme en plus le film tend à faire de Will Smith un héros christique, on peut encore moins parler de désespoir, bien au contraire. Ou alors le christianisme et la passion sont d'une tristesse folle et j'ai rien compris au catéchisme. [quote]L’idée même de la rédemption défendue par Muccino est pour le moins nauséabonde. Je ne pense qu'il y ait une idée 'défendue' par Muccino, il n'y a pas de justification du suicide, simplement la présentation d'un homme détruit qui cherche à faire le bien autour de lui pour racheter son ticket au paradis. De là à dire qu'en plus cette idée est nauséabonde... Bref, sur l'ensemble de ta critique, je ne suis pas d'accord, et pas parce que j'ai aimé le film et toi bien moins. Je t'ai juste trouvé dur et parfois aux dépens de ton argumentation (le poulpe dans un hôpital ??). Cela dit, hormis ces quelques points de divergence notables susmentionnés, je respecte bien évidemment ton avis

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