Titre VO : Ocean's Thirteen
Un film de Steven Soderbergh avec George Clooney , Brad Pitt , Matt Damon , Al Pacino , Andy Garcia
Genre : policier - Durée : 2h02 - Année de production : 2007
Date de sortie cinéma : 20 Juin 2007
Distributeur :
Douce vengeance sous le ciel de Las Vegas... Danny Ocean et sa bande ne pouvaient avoir qu'un seul motif pour tenter leur braquage le plus audiacieux à ce jour : sauver un des leurs. Mais la chance ne suffit pas toujours lorsque l'on veut faire sauter 'The Bank'... Le cruel propriétaire de casino Willy Bank ne s'attendait pas à une telle riposte lorsqu'il trahit en envoya l'ami et mentor de Danny, Reuben Tishkoff. Mauvais, très mauvais calcul, car Danny rameute ses fidèles complices pour infliger à Bank un châtiment exemplaire le soir de l'inauguration de son nouveau casino, The Bank.
On ne change pas une équipe qui gagne ! Danny Ocean et sa bande de braqueurs supers cools reprennent du service pour notre plus grand plaisir. Certs, Steven Soderbergh ,e se renouvelle guère, mais il connaît son affaire. Reprenant, les mêmes ficelles que dans les deux premiers épisodes, il nous sert une intrigue ultra compliquée, trufée de détails incompréhensibles et de dialogues en formes de private jokes qu'on ne pourra apprécier à leur juste valeur que si on est fidéle à la saga. Quant aux acteurs, sapés comme dans une pub Armani, on dirait qu'ils ont toujours fait équipe, ils pratiquent l'auto-dérision avec un bonheur évident. Un seul regret toutefois: l'humour omniprésent enpêche le spectateur de trembler pour les personnages. On sait d'avance qu'Ocean et ses potes vont s'en sortir gagnants. Dommage.
J'ai vu ocean 13 hier et j'avoue que je n'ai pas tout compris Bien qu'il dépasse l'horrible et inutile ocean 12, cet opus est d'un compliqué !!! Evidemment c'est une histoire d'arnaque mais la sécurité a évolué et pour la contourner ils n'hésitent pas a utiliser la forceuse du tunnel sous la manche. Et encore créer un tremblement de terre ce n'est que le plus simple du plan ! On y retrouve tout nos héros, qui ont plus ou moins evolués. Certains ne sont là limite que par figuration. Je pense notamment a Vincent Cassel. Quelques moments d'humour, quelques bonnes scenes, mais pas le film de l'année non plus. Par contre, la réalisation qui m'a plue en début de film a commencé a m'enerver au bout d'un moment Le côté clip vidéo met un peu plus de fantaisie dans le film mais ces zooms avant suivis de zoom arrière, j'en pouvais plus !!!! Bref un bon moment de divertissement mais pas de 14 j'ai peur de se que ça donnerait
Un film très agréable à voir ! N'ayant pas vu les deux films précedents, je ne peux comparer, mais celui-là est très bien réalisé. Certes, le scénario n'est pas très recherché mais, pourquoi devrait-il l'être ? On se retrouve alors avec un amas d'humour, d'action, et on accroche dès le début. Le tout, baigné dans une atmosphère argent/casino, est très plausible et les subterfuges interessants. On peut donc dire que Ocean's thirteen est un bon film, sans pour autant aller jusqu'à le qualifier de chef d'oeuvre. Un agréable moment à passer pour se vider un peu l'esprit et se détendre.
Ca fait du bien parfois de se prendre une petite brise fraîche en plein visage, de se laisser aller à un petit moment de rien qui semble renvoyer ad patres les problèmes qui nous occupent l'esprit. Ocean's 13 est un de ces films : que du vent, que du rien. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout !! Parce que pendant deux heures, on nous sert un plat qui, certes, sent le réchauffé, mais qui régale le palais (les mirettes, les oreilles) comme peu sont capables. Oui, le scénario joue la carte du prétexte jusqu'au bout, oui, chaque chose, chaque acteur semble instrumentalisé (Pacino n'est là que pour faire rejaillir un certain cinéma, et certains de ses rôles ; Vincent Cassel a droit à 2 mn de film, à tout casser ) et on peut regretter que le duo Colgate Pitt/Clooney soit un peu moins mis sur le devant de la scène, mais Soderbergh se rattrape en mettant sur le même pied d'estal chacun de ses protagonistes, préférant miser sur l'humour plutôt que sur l'action. Comme le dit un type à Clooney et Pitt, «vous êtes de l'analogique à l'heure du numérique « (décidément c'est la mode, puisqeu dans Die Hard 4 aussi, à croire qu'il se trame une révolte anti-numérique à Hollywood), et c'est bien là que réside le plaisir de ce genre de film, qui sent plus la chaleur humaine que le pognon, plus l'amitié que le travail, plus Sinatra que Céline Dion. Soderbergh clôt donc une trilogie (le premier faisant office de base, fragmentée par la suite en deux volumes, l'un faisant état de la personnalité des héros, l'autre s'axant sur le casse exclusivement, mais le tout se rejoignant autour du thème de la coolitude - voir ma critique de Ocean's 12) qui aura beaucoup nourri Brad Pitt (il bouffe tout le temps dans les Ocean's), mais qui aura surtout ravi les spectateurs nostalgiques d'un cinéma de papa à l'américaine, et de celui de la Nouvelle vague française.
Entre Ocean's eleven et Ocean's twelve, nos gentlemen cambrioleurs étaient bizarrement passés du statut de génies de la fauche (plans millimétrés, malice à toute épreuve) à celui de branquignols dansant sur un pied (croiser les doigts pour que ça marche, compter sur les copains pour vous sortir du pétrin). Résultat : un profond changement de style, le côté élégant mais guindé laissant place à une décontraction excessive et jubilatoire. Ocean's thirteen poursuit allègrement dans cette veine. Qui a détesté le Twelve passera très vite son chemin ; chez les autres, ce joyeux cocktail de n'importe quoi pourrait faire des ravages. On n'est plus dans un film de cambriole, mais une fois de plus dans le film de pote le plus décomplexé qui soit. Il y a à boire et à manger dans cet océan de saynettes plus ou moins bien reliées entre elles ; mais comment résister à une troupe de mecs qui ont la classe, le sourire aux lèvres, et le mot pour rire? À condition de faire abstraction du paquet de scènes inutiles ou un peu plates qui ponctuent le film, Ocean's thirteen est un nouveau divertissement euphorisant, certes moins affûté que le précédent, mais diablement sympathique quand même. On ne sait pas bien à quoi (ou plutôt à qui) correspond le «thirteen», mais on s'en cogne. Face à la petite bande habituelle (étonamment dépourvue de femmes), Al Pacino livre un grand numéro parfaitement pacinesque, s'inscrivant pile dans le ton du film. Cerise sur le gâteau du meilleur numéro 3 de l'année (faut dire que les reretours de l'homme araignée, du pirate maniéré et de l'ogre péteur ne constituaient pas vraiment des concurrents sérieux).
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