Titre VO : The Texas Chainsaw Massacre : The Beginning
Un film de Jonathan Liebesman avec Taylor Handley , Matthew Bomer , R. Lee Ermey , Andrew Bryniarski , Chris Reid
Genre : horreur - Durée : 1h32 - Année de production : 2006
Date de sortie cinéma : 07 Février 2007
Distributeur :
Massacre à la tronçonneuse : au commencement nous propose de revenir aux origines de Leatherface et de son inquiétante famille.
Effrayant, terrifiant et choquant du fait que c'est une histoire vraie: des massacres pour le plaisir. Ce film reprend le début des massacres à la tronçonneuse au Texas. Les effets spéciaux sont biens faits. Les acteurs sont cependant moyens avec des dialogues qui auraient pu être vraiment mieux. Il y a un effet de "yoyo" ici, avec des passages rapides et d'autres trop lents qui sont ennuyeux. L'histoire ne pouvait pas mieux se finir (voir film). Ce film n'est que la représentation de la folie de certaines personnes. Un film a découvrir pour les mordus de film d'horreur et qui est également vraie et pour les autres une bonne dose d'angoisse vous attendent, il ne faut pas avoir froid aux yeux.
Suite du massacre, on peut constater que "leather face" était encore un peu plus fou dans sa jeunesse. On fait face à une succession de massacre plus gore les uns que les autres. Mais c'est aussi la compréhension plus complète de la mise en place du stratagème familiale pour le massacre du groupe de jeunes dans le premier volet. En tout cas, j'ai adoré ce concept qui le fait sortir du lot des autres films de boucherie. On voit bien, le jeune Thomas Ron Hewitt devenir le roi boucher prêt à découper tout ce qui lui vient sous la main ( même les jambes des membres de sa famille ). Mais comme le premier, ce n'est que cris, sang et stress qui vous attendent tout le long du film... Mais c'est un film d'horreur après tout, donc c'est normal ! Sinon, il reste toujours Babar l'éléphant, ou Bob l'éponge qui sont un poil moins sanglant. Bon film.
Même si on voit bien notre fameux Leatherface passer du côté obscur, j'ai ressenti une petite déception du fait de louper sa véritable enfance et voir son comportement vis-à -vis de la société durant son plus jeune âge, ou voir si c'est sa famille qui lui a imposé ça véritablement. Autrement, l'histoire n'est pas trop mal, et l'on reconnaît la suite dans le massacre précédent. A voir.
Le commencement??? Malheureusement on ne nous explique pas grand chose sur le pourquoi du comment dans ce film! En revanche, on retrouve l'ambiance du remake, il y'a du gore (pas trop, juste assez), c'est malsain... Un bon film
Un très beau film sentimental, rappelant «la mélodie du bonheur»... Qu'est-ce que je raconte ?! La cacophonie du malheur, plutôt ! Après Saw 3, j'avais dit avoir eu ma ration de gore pour toute l'année, d'où, peut-être, ce sentiment de trop-plein devant un commencement qui n'en est pas un - et c'est le début de la supercherie. La grossière erreur du film est de se vouloir une genèse, alors qu'il n'est qu'une compilation foutraque des meilleures scènes du remake (le précédent, pas celui avec Renee Zellweger et Matt McConaughey), de l'original de Tobe Hooper et de sa suite (ça va, on suit ?) : le repas de famille dégnénéré, le dépeçage d'un visage sous les yeux de la copine du gars, toutes ces scènes sont censées faire plaisir au pseudo-fanatique du dyptique d'Hooper-Henkel. Le vrai fan, lui, veut du sang neuf, et aurait aimé que Leatherface ne choisisse pas sa tronçonneuse comme en se promenant dans un Mr Bricolage. Le scénario est donc pour le moins bordelique (peut-être l'influence du chaos du Massacre...2), multipliant maladresses, incohérences, et n'ayant qu'un but : confronter les ados aux monstres, par n'importe quel moyen... scénaristique. La réalisation, quant à elle, porte la griffe du producteur, Michael Bay, dans des plans d'une splendide beauté (Leatherface rentrant à pied avec sa petite machine, décalé à droite du cadre), et ne nous laisse aucun répit dans le spectacle nauséeux de ce carnage : c'est vrai qu'en matière de gore, Liebesman ne lésine pas, et si d'habitude, ça me donne des frissons de plaisir, ici il faut avouer que je n'ai ressenti aucune joie à voir ces jeunes trucidés, parce qu'un fort malaise plane sur les intentions du réal - pas de Leatherface - quant à ses personnages «humains» : à aucun moment il ne sont regardés comme des hommes, ou alors pour mieux nous dégoûter au moment opportunt, mais comme des bons morceaux de bidoche à découper au fur et à mesure. Aucune dignité n'habite ce métrage, et c'est bien là le problème. Voilà donc un film que je qualifierais de hooligan de l'horreur. Beurk.
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