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Hostel - chapitre 2

Note : 2.8/5.0 - 5 avis

Papiers peints et tableaux Star Wars

Titre VO : Hostel: Part II

Un film de Eli Roth avec Roger Bart , Richard Burgi , Jay Hernandez , Milan Knazko , Stanislas Ianevski

Genre : épouvante - Durée : 1h34 - Année de production : 2007

Date de sortie cinéma : 11 Juillet 2007

Distributeur :

Visitez le site officiel du film

Eli Roth
Roger Bart
Richard Burgi
Jay Hernandez
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Hostel - chapitre 2, le film

  • Hostel - chapitre 2

    Synopsis

    Alors qu'elles sont en vacances en Europe, Beth, Lorna et Whitney, trois jeunes Américaines, rencontrent une superbe femme. Celle-ci se propose de leur faire découvrir pour un week-end un établissement de cure où elles pourront se reposer et s'amuser. Attirées par cette offre, les trois jeunes femmes la suivent et tombent dans son piège. Livrées à de riches clients associant l'horreur au plaisir, les trois jeunes femmes vont vivre un cauchemar absolu...

Le Casting du film

  • LISTE ARTISTIQUE
    Roger BartStuart
    Richard BurgiTodd
    Jay HernandezPaxton
    Milan KnazkoSasha
    Stanislas IanevskiMiroslav
    Patrick Zigole chef de gang
    Roman JaneckaRoman
    Luc Merendale détective italien
    Philip WaleyMonitor Guard Czelsifan
    Jan Nemejovskyle médecin
    Davide DominiciRiccardo
    Petr VancuraPavel
    Ruggero Deodatole cannibale italien
    Derek RichardsonJosh
  • Rick Hoffman
  • LISTE TECHNIQUE
    Eli Roth
    Lauren GermanBeth
    Heather MatarazzoLorna
    Bijou PhillipsWhitney
    Vera JordanovaAxelle
    Jordan LaddStephanie
    Edwige Fenechle Professeur
    Susanna Bequertraductrice d'italien
    Zuzana GeislerovaInya
    Monika MalacovaMme Bathory
    Jana KaderabkovaSveltana
    Barbara NedeljakovaNatalya
    Daniel S. Frisch
    Philip Waley
  • Gabriel Roth
    Quentin Tarantino
    Boaz Yakin
    Scott Spiegel
    Mark Bakunas
    Eli Roth
    Robb Wilson King
    Milan Chadima
    George Folsey Jr.
    Philip Seeger
    Susanna Puisto
    Gregory Nicotero
    Howard Berger
    Kelly Martin Wagner
    Mark Taylor (II)
  • Nathan Barr

Avis et critiques des internautes


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  •  le 06 Septembre 2008 par

    Mais quelle daube ce film! J'avais pourtant apprécié le premier épisode, qui était bien gore et sadique donc un peu dérangeant. Je pensais en visionnant le deux de tomber dans la surenchère comme pour la saga saw, d'avoir un film réussi plus gore et sadique. Et bien il n'y a vraiment aucun risque. Durant tout le film j'ai eu l'impression de regarder un téléfilm bidon et sans moyen. Il n'y a vraiment aucune scène à retenir, aucune tension, aucun suspens... Bref, c'est d'un ennui mortel! Dans le premier, il y avait un scénario potable au moins, de l'originalité et des scènes bien "hard", et surtout c'était térriblement crédible. Dans celui-ci tout est vraiment risible, le scénario, les scènes, les acteurs et la réalisation. C'est vraiment dur de croire que ce soit le même réalisateur, et qu'il soit produit par Tarantino. On a vraiment l'impression que le chapitre deux à été tournée uniquement pour profiter du succès du premier. le cinéma reste malheureusement avant tout du business !!!!

  •  le 17 Février 2008 par

    Hostel chapitre 2 s'impose comme une suite magnifique du premier volet. On y retrouve davantage de tout, que ce soit du sang, de l'humour, aussi subtil soit-il ou encore des tortures. En plus de tout ça, on retrouve un secret magnifique dans l'histoire, c'est la découverte des trafiquants, que ce soit de ceux qui s'occupent des enchères jusqu'à ceux qui trouvent les futures victimes... Dans le genre bonne idée, Eli Roth en a eu une bonne en utilisant Roger Bart et Richard Burgi, deux personnages de la série Desperate Housewives qui vont incarner dans Hostel, deux bourreaux terrifiants dans lesquels, au départ bien sur, tout le monde pourrait se reconnaître. Dans ce qui est déroutant, Roth a bien su mettre la confusion dans nos esprit car une fois l'un est bourreau, une autre fois il est victime, c'est à en couper le souffle tout ce suspens. De plus, on voit dans ce film que malgré tout, l'argent est maître de l'homme car il lui fait faire de pures folies...

  •  le 26 Décembre 2007 par

    Quand on voit Hostel 2 pour la première fois, on se demande quand même quand est-ce que ça commence. On se demande aussi si ce qu'on a vu a un intérêt. Et puis, on se dit que Hostel 2, c'est comme Hostel sauf que les gars ont chacun une paire de loches.

    On pourrait se dire piégé par la publicité tapageuse et racoleuse de Roth et de son VRP Tarantino, et c'est vrai, mais le traquenard devrait nous faire réfléchir plutôt que nous decevoir plus que de raison. On avait annoncé le plus grand massacre, la plus grande débauche de tortures, jamais vus sur un écran pour Hostel ? On n'a rien eu de tout cela. On a annoncé pire encore pour Hostel 2 ? A quoi fallait-il s'attendre ? à ce que cela soit efffectif ? Bien sûr que non, car Roth ne fait pas, qu'on se le dise, dans l'équarissage déshumanisé à la Saw, alors que le public comme les critiques ont un peu vite réuni les deux «sagas» dans le même panier de têtes arrachées.

    Cet Hostel, comme son nom l'indique (part 2), fait figure de second élément d'un dyptique qui fonctionne comme un miroir. Ici, nous aurons droit au reflet quasi inversé du premier opus : si la structure est sensiblement la même, la différence se fait au niveau des personnages, des filles au lieu de mecs. Je vous vois venir, point de vue innovation, on a vu mieux depuis l'invention de la machine à courber les bananes. Sauf que le public de ces films est principalement masculin, ce qui du coup met du plomb dans l'aile de l'identification aux héro(ïne)s. De victime consentante et finalement mal à l'aise, le spectateur ne peut plus que se mettre dans la peau des tortionnaires cette fois. D'ailleurs, la présentation de l'intimité des deux compères de tortures renforce cet état de fait.

    Nouveau malaise donc, puisque l'on est soit mis à l'écart du projet - distanciation qui permet une meilleure réflexion autour du concept - soit dans les baskets de petits merdeux bourgeois de Pennsylvanie venus se venger d'une Bobonne castratrice sur de pauvres étudiantes même pas assez idiotes ou jolies pour qu'on puisse réellement souhaiter leur mort. Roth choisit ici de mettre en avant la Femme, suivant le petit bout de chemin tracé par le pygmalion Quentin, allant jusqu'à émasculer un des tortionnaires, et vraiment, j'en ai encore des suées qui me courent le long de l'échine.

    Alors oui, on dira qu'on se fait grave chier jusqu'au premier meurtre (en soi, très joli, mais très dégueu), mais uniquement par le mâle en mal de sensations fortes ne s'attend pas à une réflexion sur les rapports entre les deux sexes dans un film estampillé «je-vais-t'étriper-pétasse-et-ça-fera-marrer-toute-la-salle». Roth avait renvoyé au Ricain moyen une image pas très flatteuse, il enfonce le clou en le renvoyant encore une fois à une autre forme d'animalité qui prend sa source dans la sexualité.

    Les Hostel, c'est comme une boîte de Pandore : c'est moche, ça ne présente aucun intérêt, a priori, mais une fois ouverte, elle recèle des secrets qui lui donnent toute sa saveur.

  •  le 15 Septembre 2007 par

    Hostel n'échappe à la terrible des suites, c'est à dire prendre les mêmes ingrédients pour essayer quelque chose de nouveau et avoir une chance sur 2 de se planter. Malgré le talent d'Eli Roth (on reste sous le charme de Cabin Fever), Hostel 2 n'est qu'une revisite des élèments du premier. Les mecs sont remplaçés par des filles, on s'interrese un peu plus au bourreau mais le schéma du film reste rigoureusement le même. Une histoire longuette à se mettre en place et un quart d'heure d'horreur et de torture. On reste bien loin donc du machiavélisme d'un Saw pour se concentrer sur du gore pur et sans aucune subtilité. C'est peut être ça le défaut du film, trop d'histoire et trop de gore dans un temps réduit, sans aucun équilibre entre les deux. On a même parfois l'impression que Roth cherche juste à dégoûter ou à impressioner, voir la dernière scène. En un mot un film à voir pour les amateurs de film d'horreur sanguignolent.

  •  le 12 Juillet 2007 par

    Deux années après Hostel, Eli Roth revient, plus confiant que jamais. Il faut dire qu'il fait désormais partie de l'écurie Tarantino, tellement respecté par le roi Quentin qu'il a été chargé de réaliser l'une des fausses bandes-annonces qui relient les deux segments du projet Grindhouse version US. Auréolé du joli succès de Hostel, Roth remet le couvert, annonçant aux spectateurs du monde entier qu'il a l'intention de leur en mettre plein la tronche. Cela semblait être le credo de Hostel – chapitre II : reprendre le même postulat que pour le premier épisode (Slovaquie, une auberge, un centre de torture professionnelle) en l'adaptant au féminin, et surtout en décuplant le degré d'horreur. Le film est une nouvelle preuve du fait qu'agir, c'est mieux que l'ouvrir : les scènes d'horreur sont rares, brèves et souvent frustrantes, pour la plus grande déception du spectateur. Il aura fallu attendre trois quarts d'heure pour assister aux premières exactions : comme dans le volet précédent, Roth expose tranquillement le voyage des héroïnes et comment elles s'apprêtent à tomber dans le piège slovaque. Le fait que les personnages principaux du film soient cette fois des femmes rend le début de film moins beauf, plus sexy. Ce qui n'empêche pas une certaine impatience de passer aux choses sérieuses. Autre nouveauté : Roth se place également du point de vue des bourreaux en herbe, et notamment deux cadres américains venus se payer du bon temps. Chose amusante : les deux acteurs (Richard Burgi et Roger Bart) sortent tout droit de Desperate housewives, preuve que côtoyer les habitantes de Wisteria Lane ne peut que donner envie de tuer. La montée en puissance s'opère, une première scène (ce qu'on appelle littéralement un bain de sang) semble sonner le début des réjouissances… et puis d'un coup, plus rien. Ou plus grand-chose. Car à la faveur d'un retournement du scénario, les tortures prévues et annoncées n'auront pas lieu (pour la plupart). Le suspense de Hostel était certes putassier mais il était bel et bien palpable ; ici, non. Le film se termine avant même d'avoir vraiment commencé, confirmant qu'Eli Roth, à défaut d'un grand talent, possède surtout une grande gueule. On a définitivement à faire à un ado attardé, qui cherche à choquer à tout prix ; sauf que là où le teenager lambda se contente de montrer son trou de balle aux copains, Roth se sert de sa caméra et livre des scènes dont la gratuité n'a d'égal que la vacuité (en plus de n'avoir aucun lien avec le reste de l'intrigue). Il y a notamment une scène avec une bande d'enfants qui semble n'avoir été faite que pour scandaliser le public. Alors que la seule raison pour laquelle on peut la trouver choquante, c'est qu'elle est absolument nulle. Après l'apparition de Takashi Miike dans le numéro 1, c'est autour de Ruggero Deodato (auteur réputé du terrible Cannibal holocaust) devenir faire un coucou au détour d'une scène de cannibalisme ; ce clin d'œil ô combien amusant est l'estocade fatale subie par le film, qui montre à quel point Roth est un cinéaste miteux qui se contente de copier ses modèles en priant pour que ça passe. Il risque de ne plus faire illusion longtemps.

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