Titre VO : Hancock
Un film de Peter Berg avec Thomas Lennon , Will Smith , Jason Bateman , Daeg Faerch , Hayley Marie Norman
Genre : action - Durée : 1h32 - Année de production : 2008
Date de sortie cinéma : 09 Juillet 2008
Distributeur :
Il y a les héros, les super-héros et il y a... Hancock. Ses superpouvoirs lui ont souvent permis de sauver d'innombrables vies, mais les dégâts monstrueux qu'il fait au passage ont fini par le rendre impopulaire. Les habitants de Los Angeles n'en peuvent plus et se demandent ce qu'ils ont bien pu faire pour mériter un « héros » pareil. Hancock est une tête de mule irascible qui n'est pas du genre à se soucier de ce que pensent les gens… du moins jusqu'à ce qu'il sauve la vie de Ray Embrey, un spécialiste des relations publiques. Le super-héros le plus détesté au monde commence alors à réaliser qu'il n'est pas aussi insensible qu'il voudrait le faire croire...
Hancock est un film de héros particulier qui explore un scénario plutôt rare, celui du héros bourru et alcoolique à la mauvaise réputation. Incarné par un Will Smith une nouvelle fois inspiré, ce héros séduit et renouvelle bien le concept même de super-héros. On s’attache facilement à la mauvaise foi et à la mauvaise humeur d’Hancock, un héros têtu et impopulaire dans sa ville, pour faire simple un héros humain. De plus, le film fait aussi une belle place à l’humour, ce qui n’est pas pour déranger bien au contraire. La rencontre avec Ray Embray, spécialiste des relations publiques et de sa femme interprétée par la délicieuse Charlize Theron est aussi agréable à voir. Sous leurs ailes, Hancock deviendra un héros apprécié par les habitants de Los Angeles et en saura plus sur son passé. Le réalisateur Peter Berg régale de plus le public de cascades abracadabrantesques dignes des meilleurs films d’animation du genre tels que Les Indestructibles. Au final, Hancock restera comme étant un divertissement faisant la part belle au spectacle et aux émotions.
Après d'excellent film de la part de Will Smith, j'avais hâte de découvrir son nouveau bébé. "Hancock" se voyait intriguant mais également intéressant rien que par le biais de sa bande annonce. Un concept original avec un "héros" clochard, ivrogne et en plus de ça malpoli, qui ne cherche en rien à améliorer son image. Alors serais-ce l'émergence d'un nouveau genre dans le monde des super héros ? Cependant, si mes souvenirs sont bons, le célèbre Wolverine, personnage clef de la bande des "X-men" n'était pas fameux non plus à ses débuts et pourtant, aujourd'hui il est respecté mais également apprécié par beaucoup. Ce serait alors un nouveau genre pas si nouveau que ça apparemment, mais ce n'est pas pour autant que le film ne puisse être apprécié à sa juste valeur. De plus, le film possède sa petite touche d'humour qui permet davantage de passer un bon moment et de se détendre tranquillement sans se soucier de rien. Pour ce qui est du niveau de la réalisation, c'est Peter Berg qui s'en est chargé, et qui a su gérer l'affaire malgré quelques petits problèmes parfois pour ce qui est des effets spéciaux et de péripétieparfois trop infantiles. Enfin bref, "Hancock", c'est 1h40 de super héros dans le mode basique et standard donc rien d'étonnant mais également rien de bien passionnant non plus, juste de quoi se détendre et passer le temps les jours de pluie.
Depuis longtemps, Will Smith a démontré qu’il était capable d’exceller dans tous les registres. L’acteur essaie de sortir dans chacun de ses films, des repères et des conventions propres à des genres cinématographiques bien banalisés. Alors, on l’imaginait multipliant les répliques comiques dans I, Robot, il y joue sobrement. On l’attend en pourfendeur de zombies armé jusqu’aux dents, et il apparaît en chercheur mélancolique, seul survivant d’une humanité condamnée par un terrible virus dans Je suis une légende. La encore, il aurait pu se contenter de surfer sur la vague des films de super-héros. Une fois encore, il choisit la difficulté avec un script refusé par tous les studios depuis 15 années ! Hancock, un super-héros déchu et alcoolique se fait haïr par la population à cause de la mauvaise utilisation de ses pouvoirs, et va connaître une histoire d’amour impossible. Dans la seconde partie du film, Will Smith fait basculer dans l’émotion leur récit sarcastique et spectaculaire. C’est une tentative louable, mais pas entièrement convaincante : alors que toute la première moitié du film fonctionne à la perfection, la révélation du passé du personnage joué par Charlize Théron, puis les conséquences de sa confrontation avec Hancock ralentissent considérablement le tempo de l’action. S’ajoutant à un troisième acte un peu égaré, la conclusion du film est courte. Heureusement, 1 minute après le début du générique de fin, une petite scène supplémentaire permet de clore d’une manière plus satisfaisante la saga de Hancock, et de donner un sentiment d’un happy ending, même si les problèmes du personnage, à commencer par sa solitude sentimentale sont loin d’être résolus ! A l’image de son héros, Hancock est donc un film imparfait, mais bigrement sympathique.
Les blockbusters n'auront rarement aussi mal porté leur nom que cet été. Oui, ce sont de grosses machines hyper-attendues portées par un budget astronomique, oui l'action reste le moteur attractif de ces productions, mais Indiana Jones, avec son lot de déception, n'est pas un Armageddon ; Wall-E, qui ne peut porter le fardeau d'une telle appellation que parce qu'il sort en été, se permet le luxe de passer de dialogues pendant une bonne heure (comme les Ricains peuvent supporter cela ??), et Hancock détourne le sacro-saint film de super-héros pour en faire une comédie romantique qui n'a rien à voir avec les émotions adolescentes d'un Surfeur d'argent. Et ça fait du bien.
Hancock, c'est bel et bien un super-héros : il sauve la veuve et l'orphelin, possède des super-pouvoirs, et est le dénominateur commun à des séquences spectaculaires où l'SFX est roi. Mais Hancock, c'est avant-tout un pochtron mal rasé qui n'en a rien à foutre de rien. Comme si Batman (tiens, d'actualité) cuvait dans le caniveau, rotait à la couenne du Joker en lâchant une perle sur Double-Face. Première nouveauté, d'autant plus surprenante que rien ne vient justifier le comportement du personnage, campé par un Will Smith qui passe une première heure à bousiller son statut de gendre idéal. Et comme pour tous ses autres films, il donne de sa personne pour faire ressortir l'humanité enfouie de ce bel enfoiré de super-héros. Complètement irrévérencieux, le film prend d'emblée une tournure comique acide : Hancock jure et se fait traiter par un môme (elles sont où, les étoiles dans les yeux ??) , détruit la moitié de LA et se fait huer par une foule au bord de la lapidation, et enfin ses méthodes pour venir à bout des méchants proprement scandaleuses (l'expression avoir la tête dans le cul, au sens propre). Bon d'accord, mais pourquoi, comment en est-il arrivé là ?
C'est là qu'intervient le coup de génie du scénario (15 ans au placard, quand même, le script), qui relance l'intérêt d'un métrage dont on ne voyait pas trop bien les enjeux. A l'instar de Paris, Texas, Hancock délivre le secret de l'errance de son personnage vers la fin, pour en donner une dimension tragi-romantique aux accents mythologiques improbables mais pertinents. Inutile de dévoiler le twist, même si les regards inquiets d'une Charlize Theron magnifique nous lancent sur la piste d'une manière bien appuyée (tiens, je viens de dévoiler le twist sans le dire). Reste que, de méchants ici, on s'en cogne le coquillard, et c'est peut-être pour cela qu'aucun ne sort du lot, définitivement humains et faibles face à Hancock. Sa véritable nemesis demeure en même temps son grand amour, incapable qu'ils sont d'être ensemble sans se détruire. Ou comment réinventer le mythe de l'androgyne du Banquet de Platon. Et c'est avec une réelle émotion que l'on suit le dernier acte, auquel vient se greffer malheureusement un épilogue cul-cul-la-praline sans saveur.
Du blockbuster, Hancock n'en garde que l'action à SFX (d'ailleurs pas folichons). Il existe deux films en un, dont aucun ne saurait se rapprocher du bourrin décérébré à la Michael Bay. Mieux, Peter Berg clôt son film commee s'il ne pourrait y avoir de suite, et c'est vrai que l'intérêt n'y serait plus. Mais va-t-en savoir avec Hollywood. En tous cas, Hancock est une vraie surprise, à tous les points de vue, qui pourrait justifier à lui seul la bonne qualité de cette saison. En attendant le Batman. Le soleil qu'on a pas dehors, on l'a toujours dans une salle de ciné.
Will Smith toujours aussi drôle dans ce rôle de super héros alcoolique, clochard, et qui se la joue pas comme les super héros tel Batman, Superman, Spider-Man. Un héros plutôt original, avec des supers pouvoirs comme voler, avoir une force surhumaine, être insensible au balles de pistolets, les mêmes pouvoirs que Superman. Dès le début du film, j'étais à fond dedans, pleins de cascades, d'effets spéciaux, Hancock met la voiture des criminels sur une tour, trop flippant pour eux. Il détruit un train pour sauver Jason, les gens se plaignent de lui car il détruit toute la ville, il balance même une baleine sur un voilier hilarant cette scène et super bien faite. Mais Charlize Theron que je trouvais très sexy, était tout à fait comme lui avec des supers pouvoirs ce qui m'a étonné mais je vous laisse découvrir par vous même l'histoire du film. En résumé, j'ai passé un très bon moment, beaucoup de scènes drôles avec Will Smith, comme dans la prison, je te met ta tête dans son cul trop drôle,un e belle Charlize Theron, un Jason très naïf, des scènes de combats avec de bons effets spéciaux, un petit peu de suspens pour savoir les origines de Hancock, un très bon film avec un super héros drôle, émouvant, original, et très furax !
Fan de Cinéma est enregistré à la C.N.I.L. sous le n° 1143859 - Copyright © 2005-2023 LS Project Tous droits réservés. Scruteweb - community management. Voyance sérieuse .