Titre VO : Dreamgirls
Un film de Bill Condon avec Jamie Foxx , Eddie Murphy , Danny Glover , Keith Robinson , Hinton Battle
Genre : comédie dramatique - Durée : 2h11 - Année de production : 2005
Date de sortie cinéma : 28 Février 2007
Distributeur :
L'action de Dreamgirls débute dans la première moitié des turbulentes sixties et suit jusqu'au milieu des années 70 l'ascension d'un trio de chanteuses composé d'Effie, Deena et Lorrell. A l'occasion d'un concours de chant, ces jeunes et prometteuses Dreamettes sont repérées par l'ambitieux manager Curtis Taylor Jr...
Un film vraiment génial avec des superbes chanteuses et musiques , une histoire touchante et triste ! en clair un film qu'il faut voir au plus vite !
Avec ses tubes, son strass et ses paillettes, « Dreamgirls », comédie musicale adaptée pour le cinéma par le réalisateur Bill Condon, a récolté huit nominations aux Oscars. On y suit l’ascension de trois chanteuses noires dans l’Amérique des années soixante. Simple divertissement grand public, « Dreamgirls » livre un hommage mérité au groupe Supremes mais se limite à cette simple récréation où défilent des variétés de la chanson. En effet, le film évoque de façon trop timide la difficulté qu’éprouvent les Afro-Américains à s’imposer non seulement dans le monde de la musique mais aussi dans une société toute entière. Long, beaucoup trop long et finalement ni très intéressant ni très courageux, « Dreamgirls » reste bien loin d’un « Chicago » ou d’un « Moulin Rouge ». Heureusement, le film bénéficie d’un casting de platine qui le sauve du néant artistique : Jamie Foxx en impresario véreux, la chanteuse Beyonce en clône de Diana Ross sans oublier la voix révélation du film en la personne de Jennifer Hudson, gagnante d’un concours télévisé américain qui est ici propulsée - un peu trop vite - star du grand écran. C’est, peu, bien trop peu pour qu’on y trouve son compte …
Ca faisait longtemps que je n'avais pas autant ressenti autant d'émotions dans un film... Autant pour Beyoncé qui est magnifique, que pour les chansons, les sentiments... J'ai pleuré de bonheur... Je trouve cette période merveilleuse, les voix sont superbes !!!!
un casting d'enfer qui fait swinger mais quand meme une petite critique c'est que l'intrigue est un peu trop convenue.Les chansons sont agréable à entendre.
Une tisane sans sucre. Une glace sans gavotte. Une soirée disco sans YMCA. Voilà à peu près à quoi ressemble «Dreamgirls», monument de fadeur, enchaînement de chansons molles auquel manque (entre autres choses) un peu de passion. Au début, on serait presque content : c'est l'un des rares biopics qui ne débute pas par une longue complainte autour d'une enfance malheureuse. On déchante bien rapidement : personnages sans épaisseur, chansons nullottes, interprètes qui gueulent plus qu'autre chose... Cent trente minutes, ça dure. Entre deux chansons, Bill Condon tente d'ébaucher un propos foutrement original : le monde de la musique est impitoyable, la chanson, c'est dur, les gens, c'est méchant. Heureusement, après chaque crpage de chignon, on se réconcilie en chansons. «Nous sommes une famille, liés comme les branches d'un arbre, tralala», dit l'une d'entre elles, aussi consensuele que les autres. Un problème parmi d'autres : «Dreamgirls» étant simplement «inspiré» de personnages ayant existé (Diana Ross et les Supremes, James Brown, Little Richard et compagnie), les chansons du film sont des créations «originales» qui souffrent de la comparaison avec les standards qui ont fait le succès des «vraies» stars. Quand elles ont fini de hurler en musique, Jennifer Hudson (scandaleusement oscarisée à la place d'Abigail Breslin) et ses amies hurlent en vrai. Si ça n'apporte strictement rien au film, ça a au moins le mérite d'empêcher le spectateur de sombrer dans le coma (j'ai quand même piqué du nez). Beyoncé a beau être mignonette, elle n'est ici pas plus expressive qu'une poupée de porcelaine. Seul Eddie Murphy apporte un brin de folie au film, tant lorsqu'il chante (son rap est le meilleur moment du film) que lorsqu'il fait son show en privé. Pour le reste, l'ennuyeux Bill Condon se contente de filmer platement des personnages sans saveur, comme dans une compilation des meilleurs clips des Poetic Lover.
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