Titre VO : Bled number one
Un film de Rabah Ameur-Zaimeche avec Rabah Ameur-Zaimeche , Abel Jafri , Ramzy Bedia , Larkdari Ameur-Zaïmeche , Soheb Ameur-Zaïmeche
Genre : drame - Durée : 1h37 - Année de production : 2005
Date de sortie cinéma : 07 Juin 2006
Distributeur :
A peine sorti de prison, Kamel est expulsé vers son pays d'origine, l'Algérie. Cet exil forcé le contraint à observer avec lucidité un pays en pleine effervescence, tiraillé entre un désir de modernité et le poids de traditions ancestrales.
Malgré son titre pas très aguicheur ce Bled number one mérite d’être vu. Au début de l’histoire, Kamel, expulsé de France, est de retour en Algérie après y avoir fait de la prison. Kamel qui débarque comme un touriste avec son bob orange et ses lunettes de soleil au milieu de villageois qui, s’ils parlent la même langue et l’accueillent comme un enfant du pays, n’ont pas la même culture que lui. Le pendant féminin de Kamel, c’est Louisa. Elle veut chanter et elle veut revoir son enfant. Tout le film est construit comme un docu-fiction : la caméra qui bouge tout le temps, des cadrages approximatifs, les acteurs amateurs et la nature même des scènes tournées. Etrangement, il ne semble pas y avoir de « message » particulier à retenir. En suivant cette tranche de vie de Kamel et de Louisa, on glane quelques informations sur un ailleurs qui nous est proche, ni plus, ni moins… Et on voit (plus qu’on ne découvre) que l’intégrisme fait des ravages, que les non-intégristes colportent des formes de pensée et usent de comportements qui s’avèrent être tout aussi dangereux. On pèse le poids des traditions et de l’ancestralité. On est témoin de tout ce qu’on nous a raconté de pire sur la vie quotidienne en l’Algérie. Kamel et Louisa vont se débattre au milieu de tout ça mais avec les bras ballants, comme s’ils s’étaient résignés par avance, et c’est sans doute ce qui est le plus choquant… Le tout sonne tristement juste et raisonne amèrement. Cela dit, on ne peut, de chez nous, savoir quelle réalité est reflétée ici. On ne peut qu’espérer que ce soit une réalité dépassée, ou bien une réalité fort rare… mais rien n’est moins sûr… Mais malgré toute la précision de son naturalisme, ce Bled number one nous livre une scène époustouflante d’onirisme : Kamel est accroupi sur les rives d’un un lac la tête entre les genoux, perdu, déçu, désarmé et déconcerté par ce pays. Derrière lui, un homme à contre jour avec un vieil ampli marshall. C’est Rodolphe Burger (Kat Onoma) toujours aussi monstrueusement excellent, qui dit un poème de William Blake sur fond de guitare saturée. Un moment magique. Pour finir, on peut dire que Kamel ne s’est pas bien intégré en France, la preuve : il y était voleur. Et Kamel ne s’est pas bien intégré non plus en Algérie, la preuve : jusqu’à la fin, il gardera son bob orange et ses lunettes. Alors, comme il n’est bien nulle part, il rêve de Tunisie. C’est toujours mieux ailleurs…
«BLED NUMBER ONE"
Ce film il est troppppppppp bien g jamé vu ossi super excellent ksa!!!!!!
Nn mé c vré allé le voir c urgent!!!!!!!!!!
Ché pa koi vs dire pr ke vs i allié a par ke nésité pa ne réfléchissé pa allé le voir c tt!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais alors attention ya un acteur +++++ ke super jen sui sur ke vs le penssé tous c ... ba vs l savé ds ce film é tt lé otres kil a fé dailleur c «ABEL JAFRI"!!!!!!!!!!
J'éspére ke vs allé aimer mais sa en vaut la peine é c sorti ojourdui!!!!!!!!!!!!!!!!
MERCI A(l)
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