Titre VO : Astérix aux Jeux Olympiques
Un film de Thomas Langmann , Frédéric Forestier avec Clovis Cornillac , Gérard Depardieu , Alain Delon , Benoît Poelvoorde , Stéphane Rousseau
Genre : comédie - Durée : 1h53 - Année de production : 2008
Date de sortie cinéma : 30 Janvier 2008
Distributeur :
Astérix et Obélix devront remporter les Jeux Olympiques, permettre au jeune Gaulois Alafolix d'épouser la Princesse Irina et lutter contre le terrible Brutus, prêt à tous les stratagèmes, pour lui aussi gagner les Jeux Olympiques et se débarrasser de son père : Jules César.
Astérix aux Jeux Olympiques c’est : - un budget pharaonique (pour le cinéma français) - des stars européennes aussi bien du cinéma que du sport ou encore de la télé que l’on ne connaît pas. - une course de char dont même les poursuites dans la saga des gendarmes avec les bonnes sœurs sont plus rythmées. - une reconstitution de l’antiquité comme seul Vercingetorix était arrivé à la faire avant (c’est-à -dire mal) - et enfin Alain Delon qui tient ici une performance à la hauteur de celle de Christophe Lambert dans … en fait de Christophe Lambert. Et ben, et dire que ce film était attendu. Thomas Langmann a bien réussi son coup en lançant une promotion 1 an avant la sortie du film en nous laissant imaginer une suite digne du film de Chabat. Malheureusement pour nous, la qualité n’y est pas du tout ! On s’ennuie du début à la fin. L’humour est lourde et répétitive (les scènes de ‘goutage’ ), les effets spéciaux horribles (franchement prenez une caisse de playmobiles, mettez les en rang et filmez le tout, ça fera plus réaliste que ce qu’il y a à l’écran.), tellement mal fait que l’on dirait qu’il ne sont pas finis. Regardez la scène de la course de char d’une durée d’une dizaine de minutes où il ne se passe absolument rien mais où les effets spéciaux sont utilisés à forte dose (langmann devait penser qu’il donnerait du rythme pffff) Après bien sûr, ce qui est mis en avant évidemment c’est le casting. On nous promettait du lourd et là c’est vrai qu’il y a quelques noms assez prestigieux : en fait il y en 3. il y a Alain Delon jouant un césar ridicule qui essaye de faire rire sans succès et qui se lance dans un monologue ridicule sans queue ni tête dès sa première apparition (c’est de l’improvisation ou bien il y a des ‘scénaristes’ qui ont écrit cette $ ?!:^*$£§ ). Ensuite, on a le droit à Gérard Depardieu qui se tient à son rôle et enfin Benoit Poelvoorde, qui essaye bien que mal de relever le niveau d’un scripte inexistant en usant de son talent de grand guignol. Ensuite s’en suit un casting avec des vedettes de chaque pays européens dont la plupart nous sont inconnues et Clovis Cornillac qui nous avait habitué à mieux (je sais que je vais me faire des ennemis en disant ça mais c’est pas grave je me lance : Christian Clavier était meilleur). Enfin, pour une film dont le nom est Astérix aux Jeux Olympiques, ces fameux jeux ne sont qu’une toile de fond à l’histoire (mais si y en a une … enfin je crois). Il aurait été plus malin de développer cet aspect plutôt que sûr la confrontation césar / Brutus qui est très mal exploitée. Pour finir, ce film est une ARNAQUE, vendu comme une comédie familiale mais où personne ne trouve son compte et ce n’est pas en balançant toutes les stars sportives françaises en 5 minutes à la fin que cela va augmenter la valeur du film. D’ailleurs en parlant de valeur, j’aurais juste aimait savoir à quoi on servit les 80 millions de budget parce que franchement, ils ne sont pas sur l’écran !
Le premier était correct, le second était énorme, et ce troisième est catastrophique... Pourtant il avait encore un plus gros budget, mais ça reste un échec total. Tout d'abord les acteurs, pour ceux qui en sont vraiment, on retrouve Depardieu en Obélix, mais cette fois c'est Cornillac qui joue le rôle de Astérix, Clavier a bien fait de refuser le rôle cette fois, il est partis au bon moment. Et bien les deux héros deviennent des figurants, durant tout le film on a l'impression qu'ils sont la parce que le film porte leurs noms, mais ils ont très peu de scènes, et ne sont pas vraiment les héros de l'épisode... Alain Delon dans le rôle de César, pourquoi pas, mais il est descendu bien bas, et ne relève pas le niveau du film. Le meilleur est Poelvoorde qui arrive à rendre certain passage comique dans ce film qui est censé être une comédie. Tout les autres acteurs ou plutôt célébrité font des apparitions, assez ridicules il faut l'avouer, tout ses sportifs qui défilent à la fin c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... Bref le film se sert de son casting pour attirer les spectateurs, c'est misèrable... En ce qui concerne le scénario, il tient sur un post-it, et la bande annonce résume très bien le film, elle montre même tout les meilleurs passages. C'est pathétique qu'une bande annonce de une minute et trente secondes contienne tout le film et ses meilleurs scènes, tout le reste qui n'est pas montré est ennuyeux au possible... Les 2h passe vraiment très mal, on s'ennuie, c'est un enchainement d'épreuve olympique inutile et très mal réalisé. Avoir un tel budget pour faire des effets spéciaux aussi laid, c'est une honte. Je pense qu'il est plus passé à payer toute ces stars, car Zidane, Shumacher et compagnie n'ont pas du participer gratuitement. Ce film français est le plus chère réalisé et le plus mauvais qu'on est jamais fait, une honte!
Incroyable comme on peut oublier qu'on a vu un film : oui, j'ai vu Astérix aux Jeux Olympiques, et ce n'est qu'il y au quelques jours que je me suis dit "tiens, je l'ai vu, comment ça se fait que j'ai pas posté ma critique à l'époque ?". La question s'avère oratoire, la raison étant que certains films ne méritent pas qu'on parle d'eux - d'ailleurs, le succès inattendu de Bienvenue chez les chtis à renvoyé à la case anonyme ce qui se positionne en pôle position des navets de l'année.
Cet Astérix est tout bonnement sans âme, réalisé par une équipe de marketing qui pense pognon avant art. Thomas Langmann et Frederic Forestier, le premier connu pour être parfois un producteur avisé, le second pour avoir commis des comédies hyper-budgétisées inodores, jouent la démesure en proposant à l'oeil du spectateur des mouvements de grue, des plans tarabiscotés, alliés à une absence chronique d'idées dans les séquences de dialogues. Le problème, c'est que le film se résume à 2 ou 3 morceaux de "bravoure", qui tombent à plat à cause d'un déficit de dynamisme et de rythme : l'hommage (enfin ici, on parlera plutôt de reprise d'idée) à Ben Hur avec sa course de chars est d'une platitude qui n'a d'égale que la course poursuite finale de La Beuze (sauf que chez Youn, c'est du second degré).
N'ayant rien à se mettre sous la dents question action, on attend un plus question humour. Et là encore, le soufflet retombe violemment : d'une part, la volonté d'universaliser le rire pour pouvoir exporter plus facilement le film (au final, ils pourront l'exporter mais auront subi un bide monumental au niveau national - question de priorité !) aplanit la saveur des clins d'oeil d'Uderzo et Goscinny : il y a bien ces allusions cinéphiliques dans le monologue de César-Delon, mais c'est tellement lourd, sans finesse, que le sourire initial se crispe en rictus. Djamel Debbouzze permet également une scène de légèreté, mais 30 secondes, cela fait bien peu pour une comédie.
Le casting : à trop voulmoir rassembler le gratin de l'humour - José Garcia, inexistant, cachetonneur ; Frank Duboscq, ridicule, cachetonneur ; Stéphane Rousseau, pas drôle, comme dans ses sketches ; Elie Semoun, inutile, cachetonneur - personne ne tire son épingle du jeu, et l'on assiste plus à un défilé de stars qu'à un festival Juste Pour Rire. Quant à Poelvoorde, son énergie sauve un personnage mal écrit, mal défini, qui, encore une fois, ne fait pas rire. On oublierait presque que dans ces jeux olympiques, il y a Astérx et Obélix. Passons sur Depardieu qui connaît le rôle, l'incarne parfaitement, qui ici joue les utilités malheureusement. Cornillac, par contre, que tout le monde était ravi de voir remplacer Clavier, au demeurant excellent dans le précédent opus - grâce à la direction de Chabat -, Cornillac, donc, fait du mauvais Clavier période Les Anges gardiens (ou le premier Astérix), et rend son personnage de petit gaulois futé agaçant, maniéré, à des lieues du héros de BD. Où l'on se rend compte qu'une direction d'acteurs, c'est bien utile pour faire du bon cinéma, mais apparemment, là n'était pas la priorité des réalisateurs qui offrent au public un top 5 des apparitions les plus bidons : Jean Todd - on dirait Paul Preboist -, Schumacher, Amélie Mauresmo, Tony Parker, et Zidane (encore que...) : on aurait envie de leur demander ce qu'ils sont venus foutre dans cette galère, et ils nous répondraient justifier un budget astronomique dont une infime partie a servi à "faire du cinéma".
Je pensais me contenter de quelques phrases pour statuer sur Astérix aux JO, et puis la colère d'avoir cautionné ce type de production a repris le dessus. En fin de compte, on ne remerciera jamais Bienvenue chez les chtis de leur avoir appris l'humilité à leurs dépens. Toujours se méfier d'un film où l'équipe au grand complet se rend chez Drucker. Rappelez-vous les Bronzés 3. S'il n'y avait pas Bienvenue chez les chtis, on se demanderait si le cinéma français peut encore faire rire : c'est peut-être l'arbre qui cache la forêt.
A la tête de cet Astérix n°3, Frédéric Forrestier et Thomas Langmann ont eu droit au budget record de 78 millions d’euros pour casser le box-office : un plateau de stars et des décors impressionnants. Hélas, le film est un échec en comparaison de la Mission Cléopâtre d’Alain Chabat. Car on s’ennuie copieusement en suivant l’«intrigounette » imaginée par des scénaristes en manque d’imagination ayant presque oublié le tandem Astérix et Obélix au profit du casting romain. Astérix aux Jeux Olympiques ressemble finalement plus à une succession de sketches qu’à un film de cinéma. A cet effet, en Brutus Benoît Poelvoorde nous gratifie de son numéro de clown habituel tandis que son papa Alain Delon se gausse lui-même de son ego surdimensionné en Jules César. L’ensemble souffre hélas d’une surenchère forcée et permanente, comme s’il fallait à tout prix caser des idées banales sans queue ni tête pour meubler la vacuité du scénario. L’apparition de Zinedine Zidane, Amélie Mauresmo, Tony Parker ou encore Michael Schumacher en est la plus cinglante illustration. Seul le tout jeune public sera rassasié au visionnage de cette BD de luxe extrêmement décevante au regard des moyens déployés.
Notre Cloverfield à la française est enfin sorti, bénéficiant d'un marketing rarement mis en place pour un film français, il était presque normal de voir les critiques et les gens cracher sur ce film avant d'en voir la couleur. La faute à la publicité me direz vous, c'est pas faux. Mais si on fait abstraction du fait que voilà des mois qu'on nous abreuve de teaser, d'interview et de promo, Astérix au jeux olympiques est un film. Grosse production à la française comme on en fait rarement, tout est fait dans la démesure, décor grandiose, effets spéciaux à gogo, casting trois étoiles, seconds rôles celèbres. Tout est fait pour en jeter plein les yeux. Et fatalement, le scénario ne suit pas, tout le film est fait pour laisser la posibilité aux acteurs de faire leur show. Mais pourquoi autant le critiquer ? Astérix... reste un film de bonne facture, avec des effets tout à fait potables pour ne pas dire excellents, des acteurs qui s'en donnent à coeur joie et une histoire Simplette. C'est sur qu'il n'est pas destiné à devenir culte. C'est sur qu'il sera vite oublié. Mais il est quand même loin de toutes les odieuses critiques qu'on lançe à son regard. Bien plus drôle qu'un Brice de Nice et bien mieux réussi que le premier Astérix. Il a le mérite de faire sourire et de réussir son pari, celui de faire rire. Même si l'ensemble s'adresse à un jeune public, certains personnages, je pense à Alexandre Astier (excellent ici) est plus destiné à des adultes. On est loin d'un film à deux niveaux, mais l'ensemble reste correct, même pour un adulte. Après si on va voir le film, conscient qu'on va voir la pire daube de l'année, on y trouvera tous les défauts possibles. Mais si on prend son regard d'enfant, on se laissera facilement porté par cette histoire Simple, loin de toutes les productions actuelles, un film familiale et bien fait, certes un peu prétentieux.
"Max d'entrées" finalement non... Le film a profité les premières semaines du tapage marketing et de la bonne réputation du film précédent mais a souffert d'un bouche à oreille catastrophique... D'ailleurs, si le film avait vraiment cartonné et fait rire, Bienvenue chez les Cht'is n'aurait sans doute pas autant cartonné
Oui on m'avait parlé de la "débilité" de ce film...il est passé récemment sur canal et j'ai pas pû résister, pour constater qu'effectivement,c'est,comment dire...assez corsé dans le genre!!
Mais bon,ils ont fait un max d'entrées,tant mieux pour eux!!
J'ai vu , ce film est une gallerie de
et c'est tellement mal scénarisé que t'as envie de
. Les dialogues sont Ã
. heureusement c'est un succès commercial donc les producteurs vont
et
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